Une approche globale, qualitative
Depuis maintenant plusieurs années, concernant le visage, la médecine esthétique s’est écartée de la notion simpliste du « catalogue » de techniques, si chère aux médias, dans lequel il suffit de puiser « la bonne technique » et de la recommander en fonction de sa nouveauté, de son efficacité présumée, des indications, des capacités du praticien, et aussi du coût de la procédure (cf. les pages Beauté des magazines)
Ainsi, la médecine esthétique a franchi un cap qualitatif majeur grâce à une approche globalisée, sans que curieusement cela soit annoncé, commenté et expliqué dans les médias. En effet, elle s’attache à la compréhension des mécanismes (physiologiques et anatomiques) responsables des modifications statiques et dynamiques du vieillissement du visage. Cette approche entraine une analyse très fine du visage de chaque patient, conduisant à des solutions personnalisées, pertinentes et élégantes, soucieuses de conserver le « naturel » de l’expression. Mais elle a une autre conséquence très intéressante : les traitements et les soins proposés ne sont plus seulement « cosmétiques », visant seulement à corriger ou embellir, ils ont un effet préventif et même ralentisseur sur les processus de vieillissement du visage.
- L’approche ancienne, sectorielle : répondre strictement aux demandes du patient, et rechercher pour chaque problème, la technique ayant le moindre risque pour un bon ratio efficacité/coût.
– anomalies de la surface cutanée (rides, tâches, teint, rougeurs …)
– pertes de volume (tempes, cernes, pommettes, joues, lèvres, menton…)
– relâchements (plis, sourcils, joues, bajoues, cou…)